Lira est partie, elle aussi...
Actualité publiée le 18/08/2019
Photo : Lira avec Tom Hubbel.
Après le setter Dabo’, c’est qui Lira nous a quitté hier soir emportée par un cancer du foie, à l’âge de 7 ans .
L’occasion de se rappeler de cette petite chienne si particulière.
C’est à l’automne 2012, alors que nous faisions le tour des portées de Rolan chez son éleveur, qu’ une petite chienne blanche et noire très tachée avait tapé dans l’œil de Noëlle. Peut-être parce qu’elle ressemblait beaucoup à sa Nina….Je ne sais pas, mais Noëlle avait remarqué cette petite chienne vive, avec un pedigree original (Rolan x consanguine de Clinton del Chieto)
Quelques semaines plus tard, alors que Noëlle retournait chercher une saillie de Rolan, Paolo Spada l’attendait avec un couffin et des papiers… Noëlle compris quelques instants plus tard quand Paolo lui tendit Lira en lui disant « c’est bien celle-là qui te plaisait ? je te l’offre ! ». Merci Paolo !
Lira mettra très longtemps à se révéler. De blessures en accidents, elle aurait pu repartir en Italie… Hasard des déplacements, elle restait à l’élevage et j’allais devoir attendre 18 mois et la fin de ses premières chaleurs pour voir Lira passer de chienne de rien à chienne de GQ avec un très beau galop.
Des plaines Champenoises, à la Seine et Marne en passant par les pentes les plus dures, Lira ne laissait plus indifférent : son galop facile, son poids plume et son mental terrible, la rendaient redoutable sur tous les terrains. Désormais irréductible mais dotée d’un grand nez, d’une très grande passion et d’une prise de point donnée par son père, Lira allait devenir une grande chienne de chasse au caractère bien particulier et à la prise de terrain extraordinaire.
Mais Lira était particuluière, les personnes étrangères ne pouvaient pas l’approcher. Pourtant, une fois la confiance gagnée, elle savait les reconnaître même 6 mois ou 1 an après. Et Lira adorait les enfants, spontanément, définitivement.
Celle que j’appelais « Petite fille » aura apporté beaucoup à l’élevage. Elle vivra certainement encore au travers de sa descendance qui arrive. Avec peu de chiots Lira est entre autre la mère de Louchiana à josé goutepiffre, de Luciole à Antonio Navarro, de Leonardo à philippe Bourgeot, de Mia à Olivier Moreau, de Nadau à Cyril Camilleri ( chez Pétar Pétrovic), de Nadal chez Camille Dave, de Nimeno à Romain Bouneaudet... et de quelques inconnus de talent.
Merci Lira, merci Paolo.
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Après le setter Dabo’, c’est qui Lira nous a quitté hier soir emportée par un cancer du foie, à l’âge de 7 ans .
L’occasion de se rappeler de cette petite chienne si particulière.
C’est à l’automne 2012, alors que nous faisions le tour des portées de Rolan chez son éleveur, qu’ une petite chienne blanche et noire très tachée avait tapé dans l’œil de Noëlle. Peut-être parce qu’elle ressemblait beaucoup à sa Nina….Je ne sais pas, mais Noëlle avait remarqué cette petite chienne vive, avec un pedigree original (Rolan x consanguine de Clinton del Chieto)
Quelques semaines plus tard, alors que Noëlle retournait chercher une saillie de Rolan, Paolo Spada l’attendait avec un couffin et des papiers… Noëlle compris quelques instants plus tard quand Paolo lui tendit Lira en lui disant « c’est bien celle-là qui te plaisait ? je te l’offre ! ». Merci Paolo !
Lira mettra très longtemps à se révéler. De blessures en accidents, elle aurait pu repartir en Italie… Hasard des déplacements, elle restait à l’élevage et j’allais devoir attendre 18 mois et la fin de ses premières chaleurs pour voir Lira passer de chienne de rien à chienne de GQ avec un très beau galop.
Des plaines Champenoises, à la Seine et Marne en passant par les pentes les plus dures, Lira ne laissait plus indifférent : son galop facile, son poids plume et son mental terrible, la rendaient redoutable sur tous les terrains. Désormais irréductible mais dotée d’un grand nez, d’une très grande passion et d’une prise de point donnée par son père, Lira allait devenir une grande chienne de chasse au caractère bien particulier et à la prise de terrain extraordinaire.
Mais Lira était particuluière, les personnes étrangères ne pouvaient pas l’approcher. Pourtant, une fois la confiance gagnée, elle savait les reconnaître même 6 mois ou 1 an après. Et Lira adorait les enfants, spontanément, définitivement.
Celle que j’appelais « Petite fille » aura apporté beaucoup à l’élevage. Elle vivra certainement encore au travers de sa descendance qui arrive. Avec peu de chiots Lira est entre autre la mère de Louchiana à josé goutepiffre, de Luciole à Antonio Navarro, de Leonardo à philippe Bourgeot, de Mia à Olivier Moreau, de Nadau à Cyril Camilleri ( chez Pétar Pétrovic), de Nadal chez Camille Dave, de Nimeno à Romain Bouneaudet... et de quelques inconnus de talent.
Merci Lira, merci Paolo.