Licences : Réponse de la SCC
Actualité publiée le 25/02/2014
Réponse de la SCC :
POURQUOI S’ENFLAMMER ?
Le progrès technique appliqué aux modes de communication permet une diffusion rapide de l’Information. Dans l’absolu et a priori on ne peut que s’en féliciter et s’en réjouir. Malheureusement l’outil Internet nous instruit sur le pouvoir de nuisance qu’il recèle quand son utilisation répond à des motivations et objectifs dont la noblesse ne saute pas aux yeux de façon évidente.
Après avoir vécu l’épisode « Règlement des Field-trials », le petit monde du chien d’arrêt croit devoir se lancer dans une nouvelle campagne (pas publicitaire, mais au sens militaire…) où l’indignation vertueuse des mêmes hérauts tente de faire résonner les mêmes trompettes avec l’espoir qu’enfin le mur se fissure. La cible du jour restant, comme les méthodes, celle d’hier, seul le prétexte a changé.
Aujourd’hui c’est l’instauration par la SCC de « Licences » qui nourrit une série de E.mails qui se répondent en écho :
20 février : 18h41 M.GASIOT (br.Frçs) allume un feu et demande à ses collègues de l’entretenir. 18h46 M. CHEVALIER (br.Alld) – 19h02 / 19h06 Mme PARENT – 20h37 M. GASIOT – 20h53 Mme GODEFROY (ép. Frçs)
21 février : 9h45 M. GOTTI (Set.Irl.) – 10h15 Mme FAUQUEMBERT (br. St-Germ) – 12h39 M. JOUNET (br.de Weimar) – 14h04 M. GOUBET (ép. Bl.Pic.Pt-Aud)
Une série de « remarques préliminaires » est nécessaire avant les réponses aux questions soulevées dans ces échanges.
L’instauration de « licences » est un projet SCC :
Né il y a deux ans déjà
Dont l’étude a été menée par un Groupe de travail tout au long de l’année 2013
Les utilisateurs de chiens d’arrêt ont été à plusieurs reprises, lors de manifestations canines, informés des objectifs, des problèmes rencontrés, des solutions envisagées.
Dans l’organisation de la cynophilie française gérée par la SCC, chaque type de structure a un rôle défini et des prérogatives différentes :
Les Clubs de Race (et leur Président du moment) gèrent les races qui leur sont confiées.
La SCC par elle-même et ses commissions organise la cynophilie dans l’intérêt général. Elle édicte les règles.
Le terme de « Licence », appliqué au nouveau document peut être jugé inadapté ou impropre mais son instauration et son adoption par le Comité de la SCC n’ont ni violé ni transgressé les règles régissant ses rapports avec les clubs de race. Personne n’est « … mis devant le fait accompli » et la SCC a accompli sa tâche.
D’autres observations surprennent ou intriguent .
Alors que les informations officielles touchant aux « licences » chiens d’arrêt n’ont PAS ENCORE ETE PUBLIEES, comment peut-on les commenter ? Nul doute qu’en soufflant encore un peu sur le feu allumé des braises persisteront que l’on retrouvera dans de futurs E.mails.
Des réponses doivent être fournies aux questions légitimes que certains se posent de bonne foi :
Pourquoi un document licence ?
Objectifs :
Identifier et regrouper les acteurs de la cynophilie
Instaurer le sentiment d’appartenance à un même groupe, développer la solidarité
Donner à toutes les structures de la SCC (clubs de race, S.C.Régionales etc..) un outil disciplinaire leur assurant réactivité et souplesse ( licence retirée au fautif pour une durée variable)
Pour QUI ?
Pour tout acteur de la cynophilie, soit qu’il possède un chien concurrent, soit qu’il présente sans posséder de chien lui-même
Qui a eu cette idée concernant la CUNCA et pour quels motifs ?
La CUNCA s’est inscrite dans le projet et la construction préconisés par la SCC.
Son représentant dans le groupe de travail a agi pour faire que cette « licence » et ses modalités d’acquisition soient adaptées à la spécificité des chiens d’arrêt
Définition du tarif ?
Fixé à 10 € il correspond au coût de la réalisation du document (type carte de crédit) + Assurance incluse + redevance à CUNCA. Imaginer, même par ironie, une licence par discipline (printemps, gibier naturel etc..) c’est vouloir faire insulte au bon sens des responsables, ce que confirme l’évocation des certificats médical et vétérinaire ou « l’interprète des races ». Aller trop loin dans le « faire de l’esprit » fait perdre tout crédit à son auteur…
Où va aller cet argent et à quoi va-t-il servir ?
La part CUNCA devrait (on peut l’espérer) permettre de financer en autonomie ce qu’actuellement elle engage en sollicitant la SCC au cas par cas :
- Indemnisation des propriétaires de chiens sélectionnés et représentant la France en épreuves Internationales (Coupes d’Europe, Championnats du Monde, G.Q., Brit.& Cont.)
- Fourniture de tenues à ces équipes de France qui nous représentent à l’étranger
- Participation aux frais d’organisation des différents « Open » de France
Et le TAN ?
Cet examen est un test géré par les clubs de race : la licence n’y est pas obligatoire
Pourquoi instaurer la licence au 1er juillet ?
La SCC a défini une date d’exigibilité des licences : 1er janvier 2014
La CUNCA prend en compte le fait que des épreuves se sont déjà déroulées alors que le Règlement des Licences Chien d’arrêt n’avait pas encore été diffusé
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POURQUOI S’ENFLAMMER ?
Le progrès technique appliqué aux modes de communication permet une diffusion rapide de l’Information. Dans l’absolu et a priori on ne peut que s’en féliciter et s’en réjouir. Malheureusement l’outil Internet nous instruit sur le pouvoir de nuisance qu’il recèle quand son utilisation répond à des motivations et objectifs dont la noblesse ne saute pas aux yeux de façon évidente.
Après avoir vécu l’épisode « Règlement des Field-trials », le petit monde du chien d’arrêt croit devoir se lancer dans une nouvelle campagne (pas publicitaire, mais au sens militaire…) où l’indignation vertueuse des mêmes hérauts tente de faire résonner les mêmes trompettes avec l’espoir qu’enfin le mur se fissure. La cible du jour restant, comme les méthodes, celle d’hier, seul le prétexte a changé.
Aujourd’hui c’est l’instauration par la SCC de « Licences » qui nourrit une série de E.mails qui se répondent en écho :
20 février : 18h41 M.GASIOT (br.Frçs) allume un feu et demande à ses collègues de l’entretenir. 18h46 M. CHEVALIER (br.Alld) – 19h02 / 19h06 Mme PARENT – 20h37 M. GASIOT – 20h53 Mme GODEFROY (ép. Frçs)
21 février : 9h45 M. GOTTI (Set.Irl.) – 10h15 Mme FAUQUEMBERT (br. St-Germ) – 12h39 M. JOUNET (br.de Weimar) – 14h04 M. GOUBET (ép. Bl.Pic.Pt-Aud)
Une série de « remarques préliminaires » est nécessaire avant les réponses aux questions soulevées dans ces échanges.
L’instauration de « licences » est un projet SCC :
Né il y a deux ans déjà
Dont l’étude a été menée par un Groupe de travail tout au long de l’année 2013
Les utilisateurs de chiens d’arrêt ont été à plusieurs reprises, lors de manifestations canines, informés des objectifs, des problèmes rencontrés, des solutions envisagées.
Dans l’organisation de la cynophilie française gérée par la SCC, chaque type de structure a un rôle défini et des prérogatives différentes :
Les Clubs de Race (et leur Président du moment) gèrent les races qui leur sont confiées.
La SCC par elle-même et ses commissions organise la cynophilie dans l’intérêt général. Elle édicte les règles.
Le terme de « Licence », appliqué au nouveau document peut être jugé inadapté ou impropre mais son instauration et son adoption par le Comité de la SCC n’ont ni violé ni transgressé les règles régissant ses rapports avec les clubs de race. Personne n’est « … mis devant le fait accompli » et la SCC a accompli sa tâche.
D’autres observations surprennent ou intriguent .
Alors que les informations officielles touchant aux « licences » chiens d’arrêt n’ont PAS ENCORE ETE PUBLIEES, comment peut-on les commenter ? Nul doute qu’en soufflant encore un peu sur le feu allumé des braises persisteront que l’on retrouvera dans de futurs E.mails.
Des réponses doivent être fournies aux questions légitimes que certains se posent de bonne foi :
Pourquoi un document licence ?
Objectifs :
Identifier et regrouper les acteurs de la cynophilie
Instaurer le sentiment d’appartenance à un même groupe, développer la solidarité
Donner à toutes les structures de la SCC (clubs de race, S.C.Régionales etc..) un outil disciplinaire leur assurant réactivité et souplesse ( licence retirée au fautif pour une durée variable)
Pour QUI ?
Pour tout acteur de la cynophilie, soit qu’il possède un chien concurrent, soit qu’il présente sans posséder de chien lui-même
Qui a eu cette idée concernant la CUNCA et pour quels motifs ?
La CUNCA s’est inscrite dans le projet et la construction préconisés par la SCC.
Son représentant dans le groupe de travail a agi pour faire que cette « licence » et ses modalités d’acquisition soient adaptées à la spécificité des chiens d’arrêt
Définition du tarif ?
Fixé à 10 € il correspond au coût de la réalisation du document (type carte de crédit) + Assurance incluse + redevance à CUNCA. Imaginer, même par ironie, une licence par discipline (printemps, gibier naturel etc..) c’est vouloir faire insulte au bon sens des responsables, ce que confirme l’évocation des certificats médical et vétérinaire ou « l’interprète des races ». Aller trop loin dans le « faire de l’esprit » fait perdre tout crédit à son auteur…
Où va aller cet argent et à quoi va-t-il servir ?
La part CUNCA devrait (on peut l’espérer) permettre de financer en autonomie ce qu’actuellement elle engage en sollicitant la SCC au cas par cas :
- Indemnisation des propriétaires de chiens sélectionnés et représentant la France en épreuves Internationales (Coupes d’Europe, Championnats du Monde, G.Q., Brit.& Cont.)
- Fourniture de tenues à ces équipes de France qui nous représentent à l’étranger
- Participation aux frais d’organisation des différents « Open » de France
Et le TAN ?
Cet examen est un test géré par les clubs de race : la licence n’y est pas obligatoire
Pourquoi instaurer la licence au 1er juillet ?
La SCC a défini une date d’exigibilité des licences : 1er janvier 2014
La CUNCA prend en compte le fait que des épreuves se sont déjà déroulées alors que le Règlement des Licences Chien d’arrêt n’avait pas encore été diffusé