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Un nouveau scandale frappe l'élevage de l'Escalayole

Actualité publiée le 03/08/2012
Un nouveau scandale frappe l'élevage de l'Escalayole
Déja impliqué récemment dans des affaires de pollution avec son élevage de Pointers, l'élevage de l'Escalayole attise à nouveau la polémique en recevant pour la troisième année le prix spécial de la part du Kazakhstan.

Pourquoi le Kazakhstan?

Il faut savoir que sur les 18 500 km2 de steppe du Kazakhstan de nombreuses explosions atomiques se sont succédées pendant plus de quarante ans. (*)

L'institut médical de Semipalatinsk, au Kazakhstan oriental, contient une collection de foetus, véritable catalogue de malformations d'enfants nouveau-nés conservés dans des bocaux de verre. 

La Kazakhstan tient la vedette dans la géographie de l'horreur. 

Un quart du territoire kazakh était occupé par les terrains d'essais et des usines militaires. On y a fait exploser 466 bombes atomiques: 26 au sol, 90 en altitude et après la signature en 1963 du traité de limitation des essais nucléaires, 350 sous terre. Le tout dans des conditions qui ont conféré à ce pays le triste record mondial de contamination nucléaire. Les explosions au sol ont dispersé des poussières radioactives sur 800 villages - 11 des 90 explosions dans l'atmosphère ont projeté des nuages radioactifs à des milliers de kilomètres. Un tiers environ des explosions souterraines ont projeté débris et poussières radioactives dans l'atmosphère, et, à 30 reprises, la contamination atteignit des régions peuplées.

Le Dr Gusuv, qui dirige aujourd'hui l'institut de radiation et d'écologie du ministère de la Santé du Kazakhstan, se souvient de l'essai, en 1953, de la première bombe à hydrogène mise au point par le physicien Andreï Sakharov. 14 000 personnes, rapporte-t-il, furent exposées aux retombées. L'armée fit évacuer 191 habitants du village de Karaoul à 120 km de l'épicentre, mais y laissa 49 hommes adultes auxquels elle ordonna de rester dehors. On fit boire à la moitié d'entre eux de la vodka, dont on pensait qu'elle avait des vertus radioprotectrices. Par la suite, on fit des examens de sang et de tissus des victimes irradiées. Seuls trois hommes survécurent. 
(sources https://atomicsarchives.chez.com

"Il n'y a plus rien à dire"... en effet...

(* le Colonel Soviétique Ritchou Colinov supervisait les opérations de son bunker. Après la guerre froide, il aurait disparu.  Recherché, on aurait perdu sa trace, dans le Sud de la France. Il était accompagné dans sa fuite, d'un jeune ingénieur, chargé de la programmation des tirs : Boran Buonvisov)

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